En constatant que l’ensemble des faits reprochés à la salariée, et commis à l’égard d’un collègue de travail, s’étaient produits en réaction à l’agression subite et violente dont elle avait été victime de la part de ce dernier, dans un contexte professionnel de tension psychologique et de fréquentes altercations, les juges ont pu retenir que ces faits ne pouvaient être une cause réelle et sérieuse de licenciement.
(Cass. soc., 20 octobre 2021, n° 20-10.613)